« Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) est le résultat d'une volonté internationale et personne ne peut le supprimer ou l'empêcher de travailler. »
C'est en ces termes que la ministre française des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, a répondu à une question à propos de la position de la France concernant la prochaine publication de l'acte d'accusation dans l'affaire de l'assassinat de Rafic Hariri et de ses camarades. Interrogée par le site électronique www.20minutes.fr sur un éventuel risque de guerre civile, elle a estimé que « ce qui est important, et c'est la préoccupation de Saad Hariri, c'est de préserver l'unité du Liban. Pour autant, le TSL doit pouvoir faire son travail », a-t-elle martelé.
C'est en ces termes que la ministre française des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, a répondu à une question à propos de la position de la France concernant la prochaine publication de l'acte d'accusation dans l'affaire de l'assassinat de Rafic Hariri et de ses camarades. Interrogée par le site électronique www.20minutes.fr sur un éventuel risque de guerre civile, elle a estimé que « ce qui est important, et c'est la préoccupation de Saad Hariri, c'est de préserver l'unité du Liban. Pour autant, le TSL doit pouvoir faire son travail », a-t-elle martelé.
Est-ce encore possible ? « Oui, je le crois », a répondu la chef de la diplomatie française. « Le Hezbollah a des élus dans les institutions, ce qui prouve que celles-ci fonctionnent. Si des personnes sont mises en cause devant le TSL, elles le seront en tant que personnes et non comme des représentantes d'un parti ou d'une communauté », a affirmé Michèle Alliot-Marie.
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