Le leader des Forces libanaises, Samir Geagea, a affirmé, dans une interview à une chaîne de télévision russe, que « l'escalade à laquelle se livre le Hezbollah ne changera rien à l'action du Tribunal spécial pour le Liban ». Soulignant que « la tactique suivie par le Hezbollah est totalement erronée », M. Geagea a déclaré que « si le Hezbollah est convaincu de son innocence, pourquoi exerce-t-il toutes ces pressions ? » Invitant le parti chiite à se défendre en ayant recours aux moyens importants que le TSL assure à la défense, le leader des FL a indiqué que « pour l'heure, aucun indice ne permet de penser que le TSL agit sur base de considérations politiques ».
Après avoir estimé que la plupart des fuites médiatiques concernant l'action du TSL proviennent du Hezbollah, M. Geagea a déclaré qu'il n'était pas opposé aux démarches de conciliation syro-saoudites, mais qu'il trouvait déplorable que certains responsables locaux s'en remettent uniquement à cette médiation pour sortir le pays de la crise.
Par ailleurs, M. Geagea a souligné que « le général Michel Aoun vit dans un autre monde », précisant toutefois que les Forces libanaises coordonnent parfois leur action avec le CPL au sujet de certains problèmes ponctuels, comme dans le cas de la nomination d'un nouveau directeur de la Sûreté générale. « Notre différend fondamental porte sur la vision du Liban et sa décision stratégique », a déclaré le leader des FL qui a, d'autre part, mis l'accent sur le fait que pour le Premier ministre, Saad Hariri, « l'alliance du 14 Mars est un paramètre constant et tout le reste est variable ».
Par ailleurs, M. Geagea a souligné que « le général Michel Aoun vit dans un autre monde », précisant toutefois que les Forces libanaises coordonnent parfois leur action avec le CPL au sujet de certains problèmes ponctuels, comme dans le cas de la nomination d'un nouveau directeur de la Sûreté générale. « Notre différend fondamental porte sur la vision du Liban et sa décision stratégique », a déclaré le leader des FL qui a, d'autre part, mis l'accent sur le fait que pour le Premier ministre, Saad Hariri, « l'alliance du 14 Mars est un paramètre constant et tout le reste est variable ».
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